L'espèce humaine tue ses congénères environ sept fois plus souvent que la moyenne des mammifères, calcule une étude qui vient de paraître dans la revue savante Nature, mais ce n'est peut-être pas entièrement de sa faute.
Ces résultats n'étonnent guère la criminologue de l'Université de Montréal Isabelle Ouellet-Morin, qui étudie les racines génétiques des comportements antisociaux et violents. Sans se prononcer sur le fond phylogénétique de l'affaire, n'étant pas biologiste, elle signale tout de même que «chez l'humain, c'est assez clair que les sources d'influence des comportements violents sont à la fois génétiques et environnementaux, à peu près à 50-50».
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