L'analyse repose sur des données recueillies à Montréal par le professeur Carlo Morselli, de l'École de criminologie de l'UdeM, auprès de 167 jeunes de 15 à 25 ans sans domicile fixe. Ceux-ci avaient répondu à quelque 150 questions portant sur une variété de sujets.
Chez ces jeunes qui, en moyenne, avaient passé 15 mois dans la rue de façon continue ou non, 42 % se disaient « toujours ou presque toujours » heureux, contre 27 % qui affirmaient n'être « jamais ou presque jamais » heureux. Considérés comme des « ambivalents du bonheur », 32 % des répondants s'estimaient heureux « la moitié du temps ».
Pour désigner les facteurs ayant une influence sur la perception du bonheur chez ces jeunes, Julie Gaudreault a analysé leurs réponses catégorisées selon leurs expériences passées, leurs attitudes, leurs relations significatives avec l'entourage, la satisfaction de leurs besoins primaires et, enfin, leur style de vie dans la rue.(Lire la suite dans le journal Forum)
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